vendredi

Un type qui a dû croiser Corto...

On le dit un peu gangster, trafiquant, marchand... Il avait disparu, ou quasi, et il réapparait. On dit que, là, aux alentours de la trentaine, il se foutait de la poésie et de la littérature, qu'il vivait plus ou moins avec une Éthiopienne.
Il me prend, moi aussi, l'envie de partir vers rien, même pas le désert. Vers l'oubli. Vers le vent.

5 commentaires:

  1. Quand on troque ses semelles de vent contre des armes, l'insolente beauté laisse place à la seule amertume. Ne vieillissons jamais..

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  2. C'est bête, j'aurais préféré qu'on ne retrouve jamais ses pas. Juste un voile de vent sur la surface du sable. Je préférais.

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  3. Au moins ce ne fut pas le désert des sentiments. Avec Paul, les sables ont été émouvants. Et comme je les comprends...

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  4. Vraiment dommage cette malheureuse photo. Beaucoup de paroles pour ma grand chose, vraiment...
    Juste un débat stérile.
    Encore heureux qu'on ne vient pas salir sa poéisie, avec leurs grosses pates pleines de désir de gloire.

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  5. Hellow !
    Je suis une grande fan de la série (encore une xD)
    La saison n°3 est géniale =D
    Je suis ravie d'avoir d'avoir une passion commune a Satya... L'équitation !

    Bisous a tout les cerises et bon courage pour la suite =D

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